lundi 24 janvier 2011

Surviving on extreme conditions


Une mission sur une planète inconnue (remplacer par vaisseau) qui tourne mal, un prétexte légendaire, de Fear à Doom 3 en passant par tant d'autres jeux de survie flippante.

Ce qui différencie Dead Space des autres, c'est son étonnante ambiance qui dépasse rapidement ses concurrents pour placer la peur, et la survie au centre du jeu. On ne se lasse pas des petits effets bioshockesque d'ouverture de porte quand l'ennemi disparait dans un coin de l'écran (j'adore ce truc), de la musique parfaitement orchestrée, de l'image tremblante, du surgissement du montre qui manque de te gober (qui te fait flipper chaque fois qu'il y a un trou dans la carlingue)...bref de cette plongée cauchemardesque qui en laisserait plus d'un au carreau.

13 missions, c'est court, mais le plaisir est là, et franchement, Dead Space 2 est déjà dans la shopping list (quand il baissera de prix) future, même si j'ai peur de la redite (comme pour Bioshock 2, que je n'ose pas attaquer, la première plongée étant encore bien fraiche dans la tête).

Un jeu de fini de plus. Me reste Mario Galaxy 2, Bioshock 2, Lego Indiana Jones, Fallout3, The Conduit, Metro 2033, finir enfin Halo3 (bizarrement peu motivé), et surtout compléter Red Dead Redemption (vu que je viens d'acquérir le add-on Undead nightmare). Et c'est sans compter les dizaines de jeu DS...

Surtout que là, je deviens accroc au Golf sur Wii Sport Resort...

J'ai trente ans, je joue, et j'aime ça.

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